les livres
Avertissement au lecteur
Dans une page célèbre des Essais, Montaigne compare son activité littéraire au travail des abeilles qui récoltent le pollen de fleur en fleur et en font un miel qui n’appartient plus aux fleurs mais leur est propre.
Il aime citer les auteurs, surtout de l’Antiquité, qu’il lit sans cesse mais il écrit aussi qu’il n’est pas toujours nécessaire d’indiquer l’origine d’une idée, qui est devenue sienne parce qu’il y a réfléchi.
On trouvera dans ce journal beaucoup de citations, car je me suis surtout enrichi de la pensée des autres, mais pour ne pas alourdir le propos (ce n’est pas une thèse de doctorat !), je n’ai pas trouvé utile de citer la source de chaque pensée.
Mon propos n’est pas de faire une œuvre originale : je n’ai rien inventé ! Il est de garder une trace, avant tout pour moi, de ma vie et des idées qui ont accompagné cette vie.
Que tous ceux qui m’ont nourri de leur pensée et de leur exemple, même s’ils ne sont pas nommément cités, soient ici remerciés du fond du cœur.
Il aime citer les auteurs, surtout de l’Antiquité, qu’il lit sans cesse mais il écrit aussi qu’il n’est pas toujours nécessaire d’indiquer l’origine d’une idée, qui est devenue sienne parce qu’il y a réfléchi.
On trouvera dans ce journal beaucoup de citations, car je me suis surtout enrichi de la pensée des autres, mais pour ne pas alourdir le propos (ce n’est pas une thèse de doctorat !), je n’ai pas trouvé utile de citer la source de chaque pensée.
Mon propos n’est pas de faire une œuvre originale : je n’ai rien inventé ! Il est de garder une trace, avant tout pour moi, de ma vie et des idées qui ont accompagné cette vie.
Que tous ceux qui m’ont nourri de leur pensée et de leur exemple, même s’ils ne sont pas nommément cités, soient ici remerciés du fond du cœur.
